Gambia, The Standard, Inglês

Burundi faces serious climate and environmental challenges. The biggest is the country’s overdependence on the use of biomass (firewood). The second is outdated agricultural practices that have led to deforestation. In turn this has increased the country’s vulnerability to climate shocks. A landlocked country on the north-eastern shores of Lake Tanganyika, Burundi is extremely poor, with 76% of the population living below the poverty line (US$2.15 per day) in 2023. It is also ranked the 22nd most vulnerable to climate change in the world. Burundi produces very little CO₂ (less than 0.02% of global greenhouse gas emissions). Its challenge is therefore less about reducing greenhouse gases and more about managing its vulnerability to climate change. The excessive use of biomass and deforestation make it more vulnerable to extreme weather events such as droughts and floods. Burundi has a history of extreme events that are considered climate-related. It has experienced severe...

This week, under the leadership of the Centre for Leadership, Strategy and Development, civil society groups and some development partners convened a conference attended by leading politicians, pro-democracy activists and academics, to address rising threats to the democratic order and the role we should play in trying to sustain it. Also, this week, three ECOWAS countries – Niger, Mali and Burkina Faso – left ECOWAS because of its opposition to the coup they had implemented to overthrow the democratic regimes in their countries, replacing them with authoritarian military rule that have been attacking and subverting the utility of democracy in our region. At the global level, extreme right-wing parties committed to undermining democracy and supporting authoritarian and arbitrary rule are coming into power, and the emergence of Donald Trump as the American president is boosting their prospects of generating support for their agenda of undermining democracy and supporting fascism. In...

Le passeport de la confédération de l’AES est entré en fonction hier conformément aux instructions des plus hautes autorités de l’espace. Au Burkina Faso, c’est le président du Faso en personne qui en a donné le coup d’envoi. Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a fait son enrôlement biométrique et a reçu son passeport de la Confédération des États du Sahel (AES) qui entre en vigueur à compter de ce 29 janvier, rapporte l’agence d’information du Burkina. Devant les services techniques, le Président du Faso a suivi les différentes étapes de l’enrôlement pour le passeport AES. Après quelques moments, son passeport lui est remis par le ministre de la Sécurité, le Commissaire divisionnaire de police, Mahamoudou SANA. L’enrôlement du Chef de l’État marque le début du processus d’enrôlement et de mise en circulation dans notre pays du passeport AES, document commun aux trois États membres. Même si le...

Partager vers les réseaux Soutenue par le gouvernement du Royaume d’Arabie saoudite, la Coalition Islamique Militaire Contre le Terrorisme lance la deuxième phase du Programme des États du Sahel dans la capitale nigérienne, Niamey, avec des initiatives stratégiques pour combattre le terrorisme. Niamey, 30 janvier 2025 La deuxième phase du Programme des États du Sahel, organisée par la Coalition Islamique Militaire Contre le Terrorisme, a été officiellement lancée ce jeudi 30 janvier 2025 dans la capitale nigérienne, Niamey, en présence de Son Excellence le ministre d’État, ministre de la Défense nationale de la République du Niger, le Général de Corps d’Armée Salifou Modi, et de Son Excellence le Secrétaire général de la Coalition Islamique Militaire Contre le Terrorisme, le Major-Général Pilote Mohammed bin Saeed Al-Mughidi, ainsi que de Leurs Excellences des ministres, des ambassadeurs, des hauts responsables et des experts locaux et régionaux. L’ouverture du programme a été marquée par...