Le  député Abdou Karim SALL a exprimé son mécontentement face à la conduite du Premier ministre lors d’une récente séance à l’Assemblée nationale. Selon SALL, les questions posées par l’opposition, bien que délicates, sont essentielles au bon fonctionnement d’une démocratie. Cependant, il a regretté que le Premier ministre ait réagi avec un manque de sang-froid, évitant de répondre directement aux interrogations soulevées. « Les réponses qu’il a fournies ne m’ont jamais satisfait », a déclaré SALL, soulignant que le Premier ministre avait plutôt choisi de recourir à l’invective et aux menaces, une attitude qu’il juge inacceptable dans le cadre d’un débat parlementaire. Le député a également dénoncé une modification inattendue du nombre de questions allouées à l’opposition. Initialement, les membres de l’opposition avaient droit a deux questions, mais à la dernière minute, ils ont été informés qu’une seule personne supplémentaire pouvait poser des questions. Cette décision, selon SALL, témoigne d’une...

L’État ne prendra plus en charge les dépenses des clubs engagés dans les compétitions africaines interclubs. Cette information a été confirmée par la Fédération Sénégalaise de Football (FSF). Selon des informations, cette décision vise à concentrer les ressources budgétaires sur les équipes nationales. Désormais les dépenses et les besoins des équipes et clubs engagés dans les compétitions africaines ne seront plus prises en charge par l’État du Sénégal. En effet, cette décision prise par le ministère des Sports à pour objectif de concentrer les ressources budgétaires sur les équipes nationales. Dans un courrier adressé à la FSF, le ministère des Sports a précisé que les ressources seront désormais exclusivement consacrées aux équipes nationales. Ce qui exclu le reste des autres équipes ainsi, les clubs engagés en Ligue des Champions et en Coupe de la Confédération. Sur ce, toutes ces équipes devront désormais assumer seuls leurs charges financières. A cet effet,...

Les étudiants ressortissants de la commune de Bandègne ne savent plus à quel saint se vouer. Leurs études sont sur le point d’être gâchées. Depuis trois ans maintenant, ils ne bénéficient plus de subvention de la part du maire de leur commune. Une situation qui a déjà amené certains parmi eux à abandonner leurs études pour retourner chez eux. Selon Pape Meïssa Sarry, étudiant en Master II au Département d’histoire à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), le maire a coupé les subventions qu’il octroyait aux ressortissants de cette commune et qui s’élevaient à un million de francs l’année. «Nous dénonçons l’absence de subvention pour notre amicale depuis plus de trois ans», a-t-il déclaré lors d’un sit-in tenu à l’Ucad.Pourtant, s’indigne le président de l’Amicale des étudiants et élèves de la commune de Bandègne, «le maire Assane Seck a toujours subventionné les études de nos prédécesseurs sans condition». Mais...

Le voile et la barbe ont toujours été interdits dans la « grande muette », car celle-ci  est laïque et impose une discipline.  Une interdiction qui a intrigué la député Seynabou Yacine SAMBE au point d’écrire au ministre des Forces armées, Birame DIOP pour lui adresser une question.  Elle veut connaître les raisons qui motivent cette décision. Par-là, la parlementaire estime qu’il faut trouver un équilibre entre les exigences de sécurité et de discipline de l’armée et les droits religieux des soldats d’autant que plusieurs pays autorisent leurs soldats à laisser une barbe et porter un voile. «Quel est l’impact de cette interdiction sur les soldats musulmans qui souhaitent porter le voile ou la barbe pour des raisons religieuses? Comment l’armée s’assure-t-elle que cette interdiction ne discrimine pas les soldats en fonction de leurs convictions religieuses. y a-t-il des alternatives ou des compromis qui pourraient permettre aux soldats de porter le voile ou...

L’Université Cheikh Anta Diop a accueilli ce jeudi un colloque exceptionnel en hommage aux travaux des historiens Boubacar Barry et Abdoulaye Bathily, figures majeures de l’historiographie africaine. Durant trois jours, historiens, chercheurs et spécialistes partageront leurs réflexions autour des thématiques clés qui ont marqué leurs travaux sous le thème : ‘ Écriture de l’histoire et engagement intellectuel.   ´ ´Cet évènement, au-delà de l’intérêt de son thème, selon le recteur de l’UCAD, vise essentiellement à rendre hommage à deux Russes enseignants-chercheurs universitaires qui font la fierté de leurs collègues, de leurs étudiants et de leur institution tout entière. Je voudrais nommer les professeurs Boubacar Barry et Abdoulaye Bathily. Deux hommes d’exception qui ont marqué leur empreinte dans l’époque et leur domaine scientifique de prédilection. Poursuivant, ‘ ´En constatant les œuvres de grands avocats du discipline de l’histoire, en respectant les codes, aussi bien scientifiques qu’éthiques, ils ont fini par entrer dans...

L’annonce d’une éventuelle grève générale des centrales syndicales a fait réagir le coordonnateur départemental du parti Pastef de Tivaouane, Alioune Badara Mboup. Pointant du doigt l’immobilisme des dirigeants au sein des instances syndicales, il appelle «urgemment» à l’organisation de nouvelles élections de représentativité pour les centrales syndicales.Par Ousmane SOW –  Le coordonnateur départemental du parti Pastef de Tivaouane, Alioune Badara Mboup, n’apprécie pas la sortie des centrales syndicales qui se sont réunies pour affiner leurs stratégies afin de faire face aux difficultés actuelles. Dans un post publié sur sa page Facebook, il dénonce une volte-face des centrales syndicales, restées, selon lui, silencieuses sous Macky Sall, mais subitement agitées aujourd’hui. «Sous le régime de Macky Sall, les centrales syndicales étaient plongées dans une profonde léthargie. Silencieuses hier, agitées aujourd’hui. Pourtant, les travailleurs subissaient de nombreuses injustices sur leurs lieux de travail : licenciements abusifs, non-respect des engagements gouvernementaux, précarisation des emplois…...

La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a annoncé que l’État ne prendra plus en charge les dépenses des clubs participant aux compétitions africaines interclubs. Cette décision, communiquée par la Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture dans un marque un changement important dans la politique de soutien au football professionnel sénégalais. Une nouvelle orientation budgétaire Selon le communiqué de la FSF, cette mesure fait suite à «  une réorientation de la politique de l’État en matière de gestion des compétitions internationales ». Désormais, les ressources budgétaires seront exclusivement allouées « à la prise en charge des équipes nationales », laissant les clubs professionnels dans l’obligation de trouver d’autres sources de financement pour leurs campagnes africaines. Liboire SAGNA

Il avait le visage fermé à son arrivée à Addis Ababa le 13 Février 2025, pour participer à son premier Sommet des Chefs d’État et de Gouvernement de l’Union Africaine. Il avait pourtant l’air légèrement plus détendu en quittant Addis Ababa le 16 Février, pour aller au chevet d’une économie Sénégalaise en proie à des turbulences endogènes et exogènes conjuguées mais annoncées par tous les experts sérieux. Trois jours plus tard, il annonçait en Conseil des Ministres, avoir instruit son Premier Ministre, d’engager des concertations avec toutes les forces vives de la Nation, pour discuter des problèmes économiques et sociaux du Sénégal. Nous ne pouvons donc pas bouder notre plaisir, pour n’avoir pas arrêté d’écrire et de dire sur toutes sortes de medium, depuis 2018 et jusqu’à la veille de la présentation de sa Vision Sénégal 2050 en Octobre 2024 dernier, que notre pays a besoin d’une direction commune, pour...

Un atelier préparatoire d’analyse des systèmes éducatifs des pays membres de la Confemen s’est ouvert à Dakar hier lundi. Plus d’une centaine de participants venant de 21 pays d’Afrique subsaharienne vont réfléchir, pendant 10 jours, sur les enjeux de cette évaluation. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le ministre de l’Education nationale. Par Badé SECK – Les enjeux de l’évaluation des systèmes éducatifs préoccupent fortement les pays membres de la Conférence des ministres de l’Education des Etats et gouvernements de la Francophonie (Confemen). C’est le sens de l’atelier ouvert à Dakar pour préparer les équipes nationales dans la collecte des données de l’évaluation Pasec 2024. Selon Abdel Rahamane Baba-Moussa, dans son discours introductif, l’évaluation des apprentissages est un moyen qui permet d’apprécier le niveau de maîtrise des connaissances et des compétences des élèves dans une discipline donnée. Elle est un instrument de contrôle, de suivi et de pilotage de la qualité...

La Guinée-Bissau est en état de choc après la découverte du corps sans vie d’Americo GOMES, un chanteur et compositeur emblématique du pays, retrouvé ce matin dans sa résidence. Sa mort tragique survient dans un climat de tension politique, exacerbée par une vidéo controversée qu’il avait récemment diffusée sur les réseaux sociaux. Dans cette vidéo, largement relayée, GOMES affirmait que le mandat du président Umaro Sissoco EMBALÓ prendrait fin le 27 février 2025, remettant en question la légitimité de ce dernier au-delà de cette date. Ces déclarations audacieuses ont suscité des réactions passionnées au sein de la population, divisant les opinions entre ceux qui voyaient en lui un porte-voix de la vérité et d’autres qui considéraient ses propos comme une simple opinion personnelle. Coïncidence entre la diffusion de cette vidéo et la mort de l’artiste La coïncidence entre la diffusion de cette vidéo et la mort de l’artiste a alimenté...