Editorialiste en chef
Par Béatrice Delvaux
Temps de lecture: 2 min
Il n’y avait que des gens croyant à la résurrection pour oser se lancer dans la refondation du CDH en « Les Engagés ». « Vis, meurs et ressuscite », c’était la folle injonction donnée par Maxime Prévot à un parti qui a fait la pluie et le beau temps dans la politique belge. Des fidèles le reconnaissent sans peine : ils ne pariaient pas un kopeck dans le succès de cette régénération basée sur un slogan bisounours – « Il fera beau demain » –, totalement étranger au tout à la polarisation. Les doux rêveurs de la secte Prévot apparaissaient au mieux comme des gentils, au pire, comme déjà morts.
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